Chers amis contribuables,
La France compte quelque 8 000 éoliennes sur son territoire. 20 000 éoliennes terrestres ou maritimes sont prévues à l’horizon 2028.
Cette décision qui prévoit d’accélérer le développement de l’éolien a été prise en catimini l’année dernière, en pleine crise du Covid.
Par exemple, le chantier d’un parc éolien vient d’être lancé en baie de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor). 62 éoliennes en mer de 207 mètres de haut (la taille de la tour Montparnasse) sont prévues pour 2023.
Les opposants à ce monstrueux projet (parmi lesquels les pêcheurs de la région) dénoncent notamment les avantages financiers exorbitants accordés par l'État au promoteur éolien espagnol Iberdrola : des recettes de 4,7 milliards d'euros garanties par l’argent public, en plus du désastre écologique pour la faune marine.
Les éoliennes coûtent un pognon de dingue au contribuable (plus de 40 milliards d’euros déjà dépensés) pour une énergie intermittente (24 % de taux d’activité) payée au prix fort par les Français.
Elles sont polluantes et défigurent nos paysages. Elles sont aussi mortelles pour la faune.
Selon les associations de défense des animaux, ce sont 60 000 oiseaux qui meurent chaque année à cause des éoliennes en France.
La semaine dernière, Angèle, un gypaète barbu (espèce protégée) réintroduit en 2020 dans la Drôme, a été découpé par une pale d’éolienne en Hollande.